Ces derniers siècles, des philosophes ont essayé d'élucider les questions majeures relatives à la présence et à la place de l'humanité dans l'univers. Or, quel point de vue ont-ils adopté ?
Leur hypothèse de base a été que Dieu n'existe pas. Refusant de considérer l'invisible, l'impalpable, l'inaudible ou l'intangible selon les méthodes scientifiques, ils ont cru qu'il suffit de raisonner pour avoir leurs réponses. Se servant de leur raison, avec leurs préjugés naturels contre Dieu (voir « L'hostilité naturelle de l'homme pour Dieu », à la page 24), ils ont conclu que l'univers provient du néant, que la vie a évolué à partir de matière inerte, et que notre meilleur guide pour trouver notre voie est la raison.
Dans son ouvrage récent A Quest for God [Une quête de Dieu], l'historien Paul Johnson fait remarquer: « L'existence ou la non-existence de Dieu est la question la plus importante que l'on nous demande d'élucider, à nous autres humains. Si Dieu existe réellement, et si, en conséquence, nous sommes appelés à une autre vie quand celleci s'achève, une série de répercussions capitales s'ensuit, qui pourrait affecter chaque jour, quasiment chaque moment, de notre existence terrestre. Notre vie devient alors ni plus ni moins une préparation pour l'éternité et doit s'orienter, dans sa totalité, sur notre avenir » (1996, p. 1, c'est nous qui soulignons).
Pouvons-nous réellement comprendre la réponse aux questions les plus importantes de la vie sans être au moins disposés à examiner la question de l'existence du Dieu qui, selon la Bible, nous a donné la vie et nous a créés à Son image ? (Gen. 1:26-27). Le raisonnement humain, pour sa part, rejette automatiquement l'idée que Dieu puisse exister et que notre Créateur ait un dessein pour l'homme, un rôle pour lui dans l'univers. Ce mépris flagrant pour l'Éternel a attiré sur l'humanité des conséquences imprévues et tragiques.
Pouvons-nous trouver des preuves indéniables de l'existence divine ? Si c'est le cas, où les trouver ? Et de quelle nature sontelles ? Quelle attitude avons-nous à l'égard de ces dernières, et en quoi influencent-elles notre manière de vivre ?
Quelles sont les preuves de l'existence de Dieu, par rapport aux prétendues preuves du contraire ? La manière dont chaque preuve est pesée et évaluée est critique, eu égard à la validité des conclusions que l'on peut tirer sur cette question fondamentale. Nous devons étudier les arguments en faveur de l'existence divine, et contre l'existence divine, sans recourir à des hypothèses teintées de préjugés ou à des conclusions illogiques.
Les préjugés sont à double tranchant. Quand on croit à l'existence divine, on se sent souvent poussé à défendre son point de vue de manière irrationnelle. Et, ce faisant, l'on nuit à sa cause. Pareillement, quand on ne croit pas en Dieu, on refuse souvent de considérer objectivement les preuves de Son existence. Dans les deux cas, des préjugés superficiels surgissent avec animosité.
Richard Dawkins, professeur de zoologie à Oxford, et partisan acharné de la théorie de l'Évolution, a écrit un ouvrage intitulé L'horloger aveugle. Il y résume le point de vue athée sur les origines et l'existence de l'homme : « La sélection naturelle, le processus aveugle, inconscient et automatique découvert par Darwin, et qui – nous le savons maintenant – constitue l'explication de l'existence et du dessein apparent de toute forme de vie, ne suit aucun plan. Elle n'a pas de conscience, et n'a pas l'œil de l'esprit. Elle ne projette rien pour l'avenir. Elle n'a aucune vision, aucune prévoyance, elle ne voit rien. Si l'on peut dire qu'elle joue, dans la nature, le rôle d'un horloger, il s'agit de celui d'un horloger aveugle » (1986, le mot souligné l’est dans l'original).
Toutefois, pour éviter d'accepter des preuves gênantes de l'existence de Dieu, son raisonnement est que « la biologie est l'étude de choses compliquées donnant l'apparence d'avoir été conçues dans un dessein » (Dawkins, c'est nous qui soulignons). Bien qu'admettant que ces choses vivantes donnent l'apparence d’une conception faite à dessein, le professeur Dawkins ne songe pas à l'évidence – au fait que, si elles semblent avoir été conçues, c'est peut-être le cas.
L'aveu équivoque du professeur Dawkins selon lequel les organismes vivants « nous impressionnent de manière étonnante par leur conception apparente, comme si elles étaient le produit d'un horloger », comme il l'écrit n'est pas aussi légèrement laissé de côté par d'autres savants. Ils considèrent, eux, la présence étonnante de conception complexe dans l'univers comme un puissant indicateur d'un Créateur intelligent.
Une tendance croissante parmi les chercheurs en biologie, en physique, en astronomie, en botanique, en chimie et autres disciplines majeures, consiste à étudier la complexité et l'ordre qu'ils trouvent à n'importe quel niveau, à travers l'univers, et à en débattre. Les savants se servent de l'expression principe anthropique pour décrire – à partir de toutes les observations et apparences – une planète et un univers minutieusement calibrés pour la vie, et la vie humaine en particulier.
Paul Davies, professeur de physique quantique à l'université australienne d'Adélaïde, résume les découvertes croissantes de savants dans maints domaines : « Une longue liste d’“accidents chanceux” et de “coïncidences” a été dressée … Pris ensemble, ils fournissent des preuves impressionnantes que la vie, telle que nous la connaissons, dépend à fond de la forme des lois de la physique, et de certains accidents apparemment fortuits dans les valeurs actuelles que la nature a choisies pour diverses masses au niveau des particules, pour des degrés de forces, etc.
Il va sans dire que, si nous pouvions jouer à Dieu, et sélectionner les valeurs de ces quantités comme il nous plaît, en donnant quelques petits tours à des cadrans, nous constaterions que presque tous nos réglages rendraient l'univers inhabitable. Dans certains cas, on dirait que les différents réglages doivent être effectués avec une précision inimaginable pour que l'univers soit tel que la vie puisse s'y développer » (L’esprit de Dieu, 1995, c'est nous qui soulignons).
Notre univers complexe est-il l'œuvre d'un horloger aveugle, comme le prétendent certains ? Est-ce ce que nous constatons chaque jour à notre sujet ? La vie sur terre n'est-elle que le produit du hasard, n'ayant aucun dessein précis, n'ayant fait l'objet d'aucune planification, sans contrôle ni conséquences ?
L'accumulation de preuves en faveur du contraire amène de plus en plus de savants à douter de certaines hypothèses, populaires pendant des années dans les milieux scientifiques. Bien que l’on soit rarement disposé à admettre les preuves évidentes de l'existence de Dieu, on reconnaît un peu partout l'évidence d'un monde donnant l'apparence d’une conception minutieuse, jusqu'au moindre détail.
La Bible reconnaît l'évidence même lorsqu'elle nous fournit une explication de la vie bien différente de celle épousée par le professeur Dawkins. Elle présente l'univers comme l'ouvrage d'un Créateur.
« D'où proviennent tout l'ordre et toute la beauté que nous voyons dans le monde ? », demanda Isaac Newton. La question est naturelle, et elle fut posée par un savant croyant, qui reconnaissait la nécessité d'une cause pour chaque effet. Les actions ont des conséquences. Un univers minutieusement conçu indique la présence d'un Créateur intelligent.
Albert Einstein s'émerveillait aussi face à l'harmonie que lui et ses collègues savants observaient dans tout l'univers. Il déclara que le sentiment religieux du savant « prend la forme de stupéfaction et de ravissement, face à l'harmonie de la loi naturelle, qui révèle une intelligence d'une telle supériorité que – comparés à elle – tout raisonnement systématique et tout comportement humain en constituent un reflet en tous points insignifiant » (The Quotable Einstein [Citations d'Einstein], par Alice Calaprice, éditrice, 1996).
Martin Rees, professeur d'astronomie à l'université de Cambridge, et l'écrivain scientifique John Gribbin, évoquant à quel point – selon les savants – l'univers est minutieusement réglé, fait remarquer que « les conditions, dans notre univers, semblent réellement être appropriées pour des formes de vies comme la nôtre, et peut-être même pour toute forme de complexité organique… L'univers est-il fait sur mesure pour l'homme ? » (Cosmic Coincidences : Dark Matter, Mankind and Anthropic Cosmology [Coïncidences cosmiques : matière sombre, humanité et cosmologie anthropique], 1989, p. 269, les mots soulignés le sont dans l'original).
Le professeur Davies l'a exprimé en ces termes: « Par mes travaux scientifiques, j'en suis venu à croire de plus en plus fermement que l'univers physique est assemblé avec une ingéniosité si étonnante que je ne peux pas l'accepter comme simple fait. À mon avis, il doit y avoir un niveau plus approfondi d'explication. Que l'on souhaite appeler ce niveau plus approfondi “Dieu” est une question de goût et de définition… [Je] crois que nous autres, humains, sommes – dans l'ordre des choses – conçus d'une manière très simple » (L’Esprit de Dieu).
Pas étonnant que l'astrophysicien britannique Sir Fred Hoyle ait dit : « Une interprétation des faits assaisonnée de bon sens suggère qu'un intellect supérieur s'est amusé avec la physique, ainsi que la chimie et la biologie, et qu'il n'existe aucune force aveugle digne d'être mentionnée dans la nature. Les nombres calculés à partir des faits semblent, à mes yeux, écrasants au point de tirer, sans douter, une telle conclusion » (Fred Heeren, Show Me God: What the Message From Space is Telling Us About God [Montrez-moi Dieu: ce que le message de l'espace nous dit à propos de Dieu], 1997, frontispice, c'est nous qui soulignons).
Malgré tout, on continue à croire que l'on n'a pas besoin de Dieu. Le paléontologue Stephen Jay Gould, de l'université de Harvard, résume son point de vue athée en ces termes: « Aucun esprit bienveillant ne s'immisce avec amour dans les affaires [humaines]. Aucune force vitale ne provoque un changement évolutionniste. Quoi que nous pensions de Dieu, son existence ne se remarque pas dans la nature » (Darwin's Legacy [L'héritage de Darwin], Charles Hamrum, éditeur, 1983, p. 6-7).
Les partisans de l'Évolution aiment faire remarquer que l'acceptation de l'idée d'un Créateur divin requiert de la foi en quelqu'un d'invisible. Pourtant, ils sont loin d'être à l'aise lorsqu'il s'agit pour eux de reconnaître que quiconque croit que la vie a évolué à partir de matière inerte croit en une théorie qui ne peut être prouvée – et qui s'appuie sur des preuves plus fragiles que celles étayant la foi de croyants en un Créateur.
La foi des évolutionnistes suppose que notre univers, d'une complexité inimaginable, s'est créé lui-même ou a – on ne sait trop comment – surgi à partir de rien. Ils croient dur comme fer en une succession de circonstances qui non seulement défient toute logique mais défient les lois fondamentales de la physique et de la biologie.
L'Évolution est devenue, au sens propre du terme, une autre religion. La foi de ses partisans est enracinée dans la croyance non corroborée que notre incroyable univers – y compris le monde qui nous entoure et où foisonne toute une variété de formes de vie – résulte d'un pur hasard. Elle est incapable d'offrir la moindre explication rationnelle de l'origine de la matière qui a rendu possible la présence de l'univers et la prétendue évolution de la vie.
Laissant totalement de côté la question de savoir quelle est l'origine de la matière et de l'univers, les partisans de l'Évolution débutent avec un univers présent, fonctionnant à partir de lois harmonieuses et prévisibles. Ils reconnaissent que ces lois existent et fonctionnent parfaitement. Et pourtant, ils n'ont pas la moindre idée de leur origine. Ils choisissent d'ignorer les preuves écrasantes démontrant qu'une Intelligence suprême est responsable de ces lois ordonnées et harmonieuses.
Notre univers fonctionne comme une horloge géante. Les quarante dernières années d'exploration spatiale en ont démontré la précision. Et c'est du fait de cette prévisibilité que la NASA peut se fier à un emploi du temps à la fraction de seconde près lorsqu'elle envoie des astronautes ainsi que des vaisseaux spatiaux dans l'espace pour explorer des planètes si éloignées qu'il leur faut parfois plusieurs années pour les atteindre, même à des vitesses de plusieurs milliers de kilomètres à l'heure.
Des lois physiques précises gouvernent l'univers. Comme le déclara Einstein, « ma religion consiste en une humble admiration de l'esprit supérieur illimité qui se révèle dans les détails les plus infimes que nous pouvons déceler avec notre faible et fragile intelligence. Cette conviction profondément émotionnelle de la présence d'une puissance supérieure pensante, qui est révélée dans l'univers incompréhensible, forme ma conception de Dieu » (The Quotable Einstein, p. 161).
Les astronomes peuvent prévoir avec une précision étonnante l'époque où une comète sera de retour dans notre ciel. Les savants peuvent envoyer des vaisseaux sur d'autres planètes, ou les placer en orbite autour de corps célestes à des millions de kilomètres de la terre. Les corps célestes se déplacent de manière prévisible.
Sur terre, nous pouvons tracer la carte de la position des étoiles et des planètes, à n'importe quel jour, mois ou année, dans l'avenir comme dans le passé, avec une précision incroyable. Les calendriers sont utiles, du fait des lois immuables de l'univers. Nous pouvons nous fier à la position des corps célestes à cause des lois qui gouvernent leurs rapports. Dans un sens, l'histoire de l'humanité est un récit de notre découverte d'un nombre croissant des lois gouvernant le cosmos.
Par exemple, nous subissons les effets de la loi de la pesanteur. Et bien que cette dernière soit invisible, nous savons qu'elle existe. Nous savons qu'elle fonctionne constamment. C'est l'une des lois fondamentales de l'univers. Des lois analogues gouvernent chaque aspect de l'univers – des lois régissant l'énergie, le mouvement, la masse, la matière et la vie elle-même.
Qu'en est-il de l'Évolution ? La théorie de l'Évolution maintient que la vie a surgi de matière non vivante, et qu’à travers d'immenses périodes de temps, elle s’est modifiée pour former la stupéfiante variété de formes de vies sur terre.
Ce concept est contraire à l'une des lois les plus fondamentales des lois naturelles : celle de la biogenèse. Dans toute la nature, la biogenèse est abondamment évidente: la vie ne peut provenir que d'une vie déjà existante, de même que votre vie a été conçue par des parents vivants. Les évolutionnistes, évidemment, s'opposent à ce principe, mais ils ne peuvent produire aucune preuve concrète du contraire.
Les preuves d'un Créateur suprême.
Allons au cœur de la question. Pourquoi existe-t-il tant de lois sûres, prévisibles et minutieusement réglées gouvernant notre existence ? Quelle est leur origine ? La vie est-elle apparue par pur hasard, ou sommes-nous en présence d'un dessein infiniment supérieur ? Il doit bien y avoir une explication pour tout. La raison du nombre, de la précision et de la perfection des lois naturelles ne saurait être laissée de côté; l'on ne saurait prétendre à un accident. Raisonner de la sorte est irrationnel.
Le bon sens nous dit que l'existence d'un univers magnifique, structuré à partir d'innombrables lois de physique qui le soutiennent, requiert l'existence d'un Créateur ayant conçu ces lois, et créé ces structures.
L'une des preuves les plus claires de l'existence de Dieu est la présence impressionnante de plans dans l'univers. Le savant australien Paul Davies l'explique fort à propos dans L’Esprit de Dieu : « Les êtres humains ont toujours été frappés d'émerveillement face à la subtilité, la majesté et l'organisation complexe du monde physique. La course des corps célestes à travers le ciel, le rythme des saisons, le motif d'un flocon de neige, les myriades de créatures vivantes si bien adaptées à leur milieu – toutes ces choses semblent trop bien agencées pour être un accident dénué de sens. Il existe une propension naturelle à attribuer l'ordre élaboré de l'univers aux travaux réfléchis d'une divinité ».
Un autre écrivain vit une preuve formelle de la création qui l'entourait : le roi David. Contemplant les cieux, il y a 3000 ans, il comprit que le spectacle s'offrant à lui était l'ouvrage du Créateur, et que nous pouvons apprendre bien des choses en observant Ses œuvres : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains. Le jour en instruit un autre jour, la nuit en donne connaissance à une autre nuit. Ce n'est pas un langage, ce ne sont pas des paroles dont le son ne soit point entendu : leur retentissement par-court toute la terre, leurs accents vont aux extrémités du monde » (Ps. 19:2-5).
La splendeur d'un ciel étoilé nous pousse à nous interroger et à nous émerveiller. Que sont ces minuscules diamants étincelants, criblant le feutre noir de l'espace ? Comment sont-ils arrivés là ? Quelle est leur raison d'être ? Qu'y a-t-il au-delà de ces témoins silencieux du soir, aux tréfonds inimaginables de l'univers ? La majesté des cieux scintillants soulève des questions non seulement à propos de l'univers, mais aussi à propos de notre place dans ce dernier.
Il en va de même pour l'organisation complexe de tout ce qui existe ici-bas, non seulement du monde qui nous entoure, mais aussi du monde invisible que nous ne pouvons explorer qu'à l'aide de microscopes.
Mille ans après que le roi David ait exprimé son admiration pour ces merveilles, l'apôtre Paul dit aux chrétiens de Rome que « les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages » (Rom. 1:20).
Les rédacteurs de la Bible reconnaissaient dans la Création des preuves magistrales de l'existence d'un Créateur suprême. Ils comprenaient que les merveilles qui nous entourent claironnent le message : Une organisation aussi étonnante requiert un Créateur ! Que nous soyons émus par la force des flots, par la majesté d'une chaîne de montagnes, par la beauté des premières fleurs du printemps ou par la naissance d'un enfant, lorsque nous observons le monde qui nous entoure, nous concluons naturellement que c'est l'ouvrage d'un Maître Créateur.
Le physicien théorique John Polkinghorne, président du Queens College de Cambridge et membre de la Royal Society a écrit ceci : « La beauté intellectuelle de l'ordre découvert par la science est cohérent avec le fait que le monde physique dissimule la pensée du divin Créateur… L'équilibre minutieusement réglé, intrinsèque aux lois gouvernant le tissu de l'univers proprement dit s'accorde avec le fait que son histoire fructueuse traduit l'expression d'un dessein divin » (Serious Talk: Science and Religion in Dialogue [Des propos sérieux: La science et la religion dialoguent], 1995, p. viii).
Michael Behe, professeur adjoint de biochimie à l'université Lehigh de Pennsylvanie, a conclu de son étude intensive de la cellule – pierre angulaire de la vie – qu'une complexité si stupéfiante ne peut s'expliquer que par l'existence d'un Créateur intelligent : « Pour toute personne ne se sentant pas obligée de limiter ses recherches aux causes non intelligentes, la conclusion évidente est que beaucoup de systèmes biochimiques ont été conçus. Ils ont été conçus non par les lois de la nature, non par hasard ou nécessité, mais plutôt planifiés. Le Concepteur savait à quoi ressembleraient les systèmes une fois réalisés, puis prit les mesures nécessaires pour les produire » (Darwin's Black Box: The Biochemical Challenge to Evolution [La boîte noire de Darwin : Le défi que la biochimie lance à l'Évolution], 1996, p. 193, le mot souligné l’est dans l'original).
Sa conclusion ? « La vie sur terre, à son niveau le plus fondamental, dans ses ingrédients les plus critiques, est le produit d'une conception intelligente » (ibid.).
La précision de notre univers n'est pas le résultat d'un accident. Elle est le produit d'un Créateur et d'un Législateur méticuleux, du Maître Horloger du cosmos.